Dans la mièvre douceur de la nuit tropicale
Dort un vert perroquet beau comme un corindon.
Ses ailes mouchetées de teintes végétales
Sous le ciel de corail semblent de vermillon.
Ses yeux sont globuleux et leurs centres bombés
Sont comme recouvert d’une sorte de gaze.
Sa faconde a sa source en un bec recourbé
Tel un cor en ivoire incrusté de topaze.
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