Songerie

Ton voile te cache à mes yeux
Et j’imagine précieux
Ton corps dans le linge étouffé
Et informel, douce ma fée!

Brume qui passe et disparaît
Tu es et tu n’es déjà plus
Que le parfum de tes attraits
Et de ton âme que j’ai lue!

Je voudrais être incorporel
Pour te jouir et t’embrasser
Enfin t’aimer, ma fiancée.

Ode au plaisir intemporel,
Je m’émerveille à ton chevet
Pour t’avoir si longtemps rêvée!

(14 novembre 1974)



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